Rejoignez-nous le mercredi 18 mai 2022 pour le lancement du livre The Boy in the Woods, rédigé par Maxwell Smart, survivant de l’Holocauste. Une brève lecture et un entretien avec l’auteur, animé par Naomi Parness, suivront. En partenariat avec les Amis du Centre Simon Wiesenthal pour les Études sur l’Holocauste et le Musée de l’Holocauste Montréal.
- Événement en anglais
- Mercredi 18 mai 2022, à 19h
- Sur Zoom – s’inscrire en ligne
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Résumé – The Boy in the Woods
Maxwell a onze ans lorsque toute sa famille est tuée sous ses yeux. Il aurait pu mourir en même temps qu’eux, mais sa mère lui ordonne avec abnégation de se sauver. Seul dans la forêt, il creuse un trou dans le sol pour s’abriter et se nourrit dans les champs des fermiers voisins. Les vêtements en haillons et proche de la famine, il échappe à plusieurs reprises à la mort aux mains des nazis et des voyous ukrainiens.
Après des mois de solitude, Maxwell rencontre un garçon qui erre dans la forêt à la recherche de nourriture. Janek est seul lui aussi ; il vient de devenir orphelin, comme Maxwell. Tous deux deviennent rapidement amis et construisent un bunker dans le sol pour survivre pendant l’hiver. Un jour, après un massacre dans les environs, les garçons découvrent une petite fille, encore vivante, dans les bras de sa mère décédée. Maxwell et Janek sauvent le bébé, mais ce geste leur coûte très cher.
Le témoignage de Max démontre l’endurance de l’esprit humain et inspirera les lecteurs par son héroïsme exceptionnel. De la brutalité de la guerre a émergé un homme devenu un artiste célèbre, qui a offert au monde, en contraste avec les horreurs de sa souffrance, de magnifiques œuvres d’art. The Boy in the Woods est un document historique remarquable sur une épopée qui ne devrait jamais être oubliée.
À propos de Maxwell Smart
MAXWELL est né Oziac Fromm en 1930 à Buczacz, en Pologne. À l’âge de onze ans, il s’est retrouvé seul et sans abri dans une Europe déchirée par la guerre lorsque sa famille a été tuée. Père et grand-père, il vit à Montréal avec sa femme, Tina. Maxwell Smart peint toujours à quatre-vingt-onze ans.
