Des journaux intimes rédigés pendant la guerre, des lettres d’amoureux séparés par l’océan Atlantique, ces écrits sont des témoignages puissants que deux auteures ont utilisés pour explorer les expériences de l’Holocauste.
Rejoignez-nous le 15 mai à midi HAE, pour une discussion virtuelle avec Nina Siegal, auteure de Diary Keepers et Sarah Wildman, auteure de Paper Love. La discussion sera animée par Sarah Fogg, responsable du marketing, de la communication et des relations publiques au Musée de l’Holocauste Montréal.
- Discussion en anglais sur Zoom
- Réservations requises
- Le 15 mai à midi
Avec Diary Keepers, Nina Siegal pose un regard captivant sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale et de l’Holocauste à travers les journaux intimes de citoyens néerlandais, des témoignages de première main de personnes ordinaires ayant vécu des moments extraordinaires. Basé sur des écrits sélectionnés parmi une collection de plus de deux mille journaux intimes néerlandais, The Diary Keepers éclaire l’histoire à travers divers témoignages personnels, du récit d’un officier de police sympathisant nazi à celui d’un journaliste juif qui a documenté la vie quotidienne dans un camp de transit.
Paper Love raconte le voyage de Sarah Wildman à la recherche de l’amour perdu que son grand-père a laissé derrière lui lorsqu’il a fui l’Europe avant la Seconde Guerre mondiale, ainsi qu’une exploration de l’identité familiale, du mythe et de la mémoire. Des années après la mort de son grand-père, la journaliste Sarah Wildman est tombée sur un dossier intitulé « Correspondance : Patients A-G », dans lequel se trouvaient cachées les lettres de son grand-père. Ce qu’elle a trouvé à l’intérieur n’était pas une histoire médicale aride, bien au contraire. Ce qui y était écrit ouvrait une voie sur le monde détruit de la Vienne d’avant-guerre où vivait sa famille. Parmi ces lettres, celles d’une femme, Valy-Valerie Scheftel, sont particulièrement remarquables : elle fut l’amante de son grand-père, restée sur place après qu’il a fui l’Europe six mois après l’annexion de l’Autriche par les nazis.
En partenariat avec l’Ambassade du Royaume des Pays-Bas au Canada
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