Lors de la journée des droits des réfugiés, découvrez les expériences des personnes forcées à fuir leurs pays à travers une discussion entre trois femmes : Gracia Beyloune, une femme récemment arrivée au Canada en tant que réfugié, une survivante de l’Holocauste, Rena Schondorf, et Rivka Augenfeld, une militante pour les droits des réfugiés.

Journée des droits des réfugiés

Une des 40 personnes qui avance les droits et libertés au Québec selon la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse,  « arrivée au Canada en 1948 à l’âge de deux ans avec sa famille qui a survécu à l’Holocauste, Rivka Augenfeld a consacré plus de 40 ans de sa vie aux personnes réfugiées, immigrantes et déracinées. »

Gracia Beyloune, une femme récemment arrivée au Canada en tant que réfugiée parlera des raisons qui l’on mené à fuir la Syrie.

Rena Schondorf, survivante de l’Holocauste dédié à la lutte contre l’antisémitisme et la haine, parlera de ses expériences le 4 avril. Regardez un extrait de son témoignage ci-dessous.

Pourquoi le 4 avril?

Selon le Conseil canadien pour les refugies, « le 4 avril marque l’anniversaire de la décision Singh de la Cour suprême en 1985.

Dans cette décision, la Cour suprême a conclu que la Charte canadienne des droits et libertés protège les droits fondamentaux des réfugiés. La Cour suprême a décidé que les demandeurs d’asile font partie du terme « chacun » dans la phrase : “Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne; il ne peut être porté atteinte à ce droit qu’en conformité avec les principes de justice fondamentale.”

Les demandeurs d’asile ont donc droit à une audience orale, conformément aux principes de la justice fondamentale et du droit international. »

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